Tableau Ormare Karel APPEL de Bruno DONZELLI 44x54 cm

Biographie

Bruno Donzelli est né le 12 avril 1941 à Naples.

À l’âge de 21 ans, il participe à sa première exposition solo à la Galleria del Fiorino à Florence. 

En 1960, il participe à la Premio San Fedele à Milan, dans le Premio Termoli et en 1962 au concours créé par le ministère de l’éducation.

En 1963, il occupe une exposition solo à la Galleria Centro Arte à Gênes, dans la même année, qu'il a été invité au Premio Spoleto, la Marche 
de Premio à Ancône et le Premio Michetti. 

Dans les années suivantes, il poursuit sa saison riche d’expositions personnelles dans les grandes villes et dans prestigieuses galeries d’art.

En 1984, il démarre le cycle de peintures de Siparietti impertinenti : c’est le moment de dechirichiano Lontano "(1985), « Guantiera con babà » 
(1986), « Tavolozza del Novecento » (1987).

Partir de 199, il se consacra à la potière, Deruta et Pérouse, une série de multiples et d’une seule main peint des œuvres.

En 1991 il réalise les décors et les costumes pour « Folli notti un Pietroburgo » réalisé par Gianfranco Evangelista au Teatro dell ' Orologio 
à Rome, basé sur le livre « Le notti bianche » par Dostoijevskij.

Dans les années suivantes, il participe à des expositions personnelles dans les grandes villes européennes telles que Paris, Genève, Dusseldorf, 
Cologne, Bâle, Nuchàtel, Nice, Monaco et bien d’autres.

Il a présenté sa première monographie sur le le de son exposition solo en 1997 à la Galleria Arte Borgogna à Milan. 

Il a fait le calendrier Buffetti en 1999.

La dernière exposition est celui de 2012 à PAN à Naples. 

Bruno Donzelli est le « point de basculement » de l’art du XXe siècle, son point critique.

Un siècle d’avant-garde se reflète dans ses œuvres.

En cinquante ans de recherches, l’artiste, se réinventer dans la langue, traversé les signes, les images, les matériaux et les couleurs de ceux 
qui ont fait l’histoire de l’art du XXe siècle.

Ses œuvres sont un reportage ludique et joyeux à l’intérieur d’un monde extraordinaire et fantasmagorique, témoignant de la nature 
exceptionnelle des mouvements et maîtres, où seulement le "grand" ont le droit de résidence.

Donzelli, plus que tout historien ou critique, trace un trait distinctif de l’histoire.

Qui est là est là, dans ses tableaux et qui n’est pas, il n’est pas là. 

Et c’est un jugement sans appel. Les maîtres du XXe siècle de vivre "à la manière de Donzelli" une nouvelle jeunesse et une nouvelle identité, 
dans une lecture qui est un avec les mécanismes de la peinture.

Donzelli est né, ne fait ne pas. D'où son caractère unique, son être singulier.

Sa cravate et sa relation avec un territoire fertile, celle de Campanie.

Naples, donne naissance à Donzelli, lui soulève dans le brouhaha de la ville, dans les combinaisons de couleurs plus audacieuses, dans le 
geste plus spectaculaire.

C’est de 1941 quand Bruno Donzelli est né.

C’est un moment historique crucial, un point tournant pour la ville.

Il est évident : il y a une dimension ludique dans le œuvre de Donzelli.

Et c’est juste la chose qui attire immédiatement l’attention.

Il commande une sorte de jubilant, facétieux et en même temps l’esprit un peu culotté.

La moquerie et la fantaisie irrévérencieux d’Arte de commedia se cachent dans sa peinture. 

Il a fait une histoire de l’art moderne, qui repose sur le signe de l’ironie.

Mais de jeu et de dérision, appartiennent en fait à l’art du XXe siècle.

Le Dada était le premier mouvement de prétendre à ces ressources.

Si l'on considère la multitude de peintures, dessins, livres, partitions, sculptures et créations dans tous les domaines possibles faites par 
futuristes, on doit admettre que l’humour est l’élément clé derrière pléthorique et discours iconoclaste de Filippo Tommaso Marinetti.

Bruno Donzelli s’inscrit dans une tradition qui montre une niche dans l’histoire de l’art occidental, une tradition encore marginale et parfois 
cachée.

Nous devons apprendre à regarder les peintures de cet artiste au-delà de ses thèmes, à savoir les noms et les caractères des anciens maîtres.

Son art doit être considérée comme détourné l’art conceptuel.

Il est l’archétype de l’artiste, qui aujourd'hui a été en mesure de faire le grand saut, se maintenant dans une zone d’équidistance de ces deux 
conceptions esthétiques bien séparées, à l’exception de quelques expériences excellents.

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